Succession du pape François : forces et faiblesses des « papabili » africains
Alors que le monde catholique a les yeux tournés vers le Vatican, où plus de 50 chefs d’État sont attendus pour les obsèques du pape François, l’Afrique peut-elle (enfin) avoir « son » souverain pontife ? L’analyse de François Soudan au micro de RFI.
Le cardinal congolais Fridolin Ambongo, lors d’une messe en commémoration du défunt pape François à la cathédrale Notre-Dame du Congo à Kinshasa, le 21 avril 2025. © Photo par Hardy BOPE / AFP
Publié le 26 avril 2025 Lecture : 2 minutes.
Fichier généré le
Le pape qui vient de s’éteindre à l’âge de 88 ans avait un rapport « ambigu » avec l’Afrique, qui compte 260 millions de fidèles catholiques, observe François Soudan, directeur de la rédaction de jeune Afrique, dans La Semaine de JA de ce samedi 26 avril, sur RFI. Une relation faite d’attirance, de fascination mais aussi d’« une certaine méfiance, une prudence face à un univers culturel très loin
la suite après cette publicité
Article écrit publié en premier sur JeuneAfrique.Com