(Bénin Révélé Mag) – Six entreprises ont été agréées aux régimes A et B du code béninois des investissements à l’issue du conseil des ministres du 11 Juillet 2018, tenu sous la présidence du Chef de l’Etat, le président Patrice Talon.
D’après le compte rendu du conseil des ministres, il s’agit précisément de six décrets portant agrément de diverses sociétés aux régimes « A » et « B » du Code des investissements. Ainsi, les sociétés « MACELEC SARL » et « Industries laitières et de boissons du Bénin SARL », accèdent au régime « B », pour respectivement, l’installation d’une usine de transformation d’acier à Akassato dans la commune d’Abomey-Calavi pour la première, et l’installation d’une unité de fabrication d’eau de table, de boisson non alcoolisée et de jus de fruits tropicaux, à Ouessè dans la commune de Ouidah, concernant la seconde.
Les quatre autres bénéficient elles, du régime « A ». Ainsi, « La Distillerie béninoise SARL », s’occupera de l’extension d’une unité de production de l’eau de vie locale, le SODABI de marque TAMBOUR à Agori, commune d’Abomey-Calavi. « BENINBOX SARL » va installer une unité de fabrication d’emballages métalliques pour peinture, dans la zone industrielle d’Akpakpa, commune de Cotonou.
Quant à la société « GROUP-AKI SARL », elle va gérer l’installation d’une unité de production d’eaux minérales et de jus de fruits à Honviguéli-Yénawa, dans la commune de Covè ; et « PROSIGN SARL », s’occupera de l’installation d’une unité de fabrication de panneaux de signalisation routière dans la zone industrielle d’Akpakpa, commune de Cotonou.
Il convient de noter que même si ces genres d’agrément ne sont pas nouveaux et que la plupart de ces entreprises étaient déjà sur place, il faut tout de même admettre que ce sont des régimes privilégiés. En réalité, le gouvernement favorise le développement des activités de ces entreprises. Cela participe à la consolidation et au renforcement du tissu industriel du pays.
Là encore, c’est la preuve que le Président Talon encourage et œuvre pour l’émergence de structures privées capables de soutenir l’économie et qu’il ne remet en cause que ce qui ne profite pas à l’intérêt général. Cet acte est à n’en point douter, un coup de pouce à la création d’emplois et donc à la réduction du chômage. C’est également le signe de la confiance retrouvée du fait des efforts faits par le gouvernement pour l’environnement des affaires et la sécurisation des investissements.