
Provoquée par un banal incident, l’arrestation d’une cinquantaine de Tunisiens en Libye s’est finalement terminée par un arrangement entre les deux pays voisins. Entre lesquels la relation reste toutefois compliquée.
Des officiels assistent à la réouverture du poste frontière de Ras Jedir entre la Libye et la Tunisie, le 1er juillet 2024. © Mahmud Turkia / AFP
Publié le 1 avril 2025 Lecture : 2 minutes.
L’arrestation de cinquante Tunisiens en Libye, fin mars, a rappelé à beaucoup le temps où le guide suprême libyen, Mouammar Kadhafi, utilisait le renvoi des travailleurs ou l’emprisonnement comme mesure de représailles quand il était mécontent de la position de son voisin de l’ouest sur un sujet ou sur un autre. Aujourd’hui, il n’est plus question des caprices ou de la volonté d’un raïs, mais des
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