En Algérie, nouveau bras de fer entre Karim Tabbou et la justice
Qualifié de « terroriste » par un procureur général lors du procès de l’un de ses anciens avocats, l’ancienne figure du Hirak a immédiatement réagi par un courrier dans lequel il dénonce une diffamation et demande des sanctions.
Karim Tabbou, en 2019. © Menigault Bernard / Alamy / Abaca
Publié le 22 janvier 2025 Lecture : 3 minutes.
Le coordinateur de l’Union démocratique et sociale (UDS), parti non agréé par ministère de l’Intérieur, et figure emblématique de l’opposition algérienne, n’est pas l’homme à céder face à l’adversité. Accusé, en pleine audience par un procureur de la République, d’être « classé comme terroriste », Karim Tabbou a interpellé, le 19 janvier 2025, le procureur général, dénonçant un « mensonge grossier
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