Les Démocrates, qui ont élu Boni Yayi à leur tête, espèrent fédérer les autres formations d’opposition pour que la présidentielle de 2026 débouche sur une alternance. Mais les partis pressentis paraissent peu enclins à se rallier. Surtout depuis les dernières déclarations de l’ancien chef de l’État.
Publié le 22 janvier 2024 Lecture : 3 minutes.
Deux ans et trois mois. C’est le temps qui sépare les Béninois de la prochaine élection présidentielle, par laquelle ils désigneront le successeur de Patrice Talon, ce dernier n’ayant cessé de répéter qu’il s’en tiendrait aux deux mandats auxquels la Constitution lui donne droit. Une aubaine pour l’opposition ? Pas si sûr.
Après avoir manqué le scrutin législatif de 2019 – auquel aucune formation
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